Née en 1938 à Paris, Danielle Mérian y a vécu l’occupation allemande et découvre à sept ans les photos des camps de concentration. Elle décide alors de consacrer sa vie à être la voix des sans voix : durant quarante-deux ans, elle est avocate au barreau de Paris tout en s’engageant auprès de diverses associations contre la torture, la peine de mort et l’excision. Ce n’est qu’après le 13 novembre 2015 que Danielle Mérian commence à écrire. Elle est l’auteur avec Tania de Montaigne Nous n’avons pas fini de nous aimer (Éd. Grasset, 2016), dans lequel elle raconte son parcours de militante et de femme libre. Elle a également préfacé Paris sera toujours une fête (Éd. Gallimard, 2016) et Je suis Paris (Éd. Michel Lafon, 2016).
© Christophe Beauregard