Astrid Manfredi doit sa passion de la lecture à sa mère. A la fin de l’adolescence elle fréquente divers milieux, dont celui de la banlieue qui la marque profondément et dont elle en gardera une attention particulière aux personnes à la marge. Après avoir travaillé pendant dix-sept ans en agence de publicité puis dans le marketing, elle profite de son licenciement pour changer de cap et se consacrer à l’écriture. La petite barbare (Ed. Belfond, 2015) est son 1er roman : sans juger, Astrid Manfredi pose les questions du déterminisme social, du désespoir, de l’engrenage, mais aussi de la seconde chance…
© Philippe Matsas