Arnaud Rozan a un pouvoir d’évocation redoutable. Né en 1968 à Paris, il travaille dans le secteur public, principalement sur les « questions sociales. » Il confronte son lecteur à la douleur des victimes. Il peint avec des mots des scènes dantesques et donne consistance à une mémoire de la violence de l’Amérique blanche des années 20. Son premier livre L’unique goutte de sang, édité aux éditions Plon, est paru lors de la rentrée littéraire 2021.
© Bruno Klein