Temps fort de la manifestation, cette soirée invite à la découverte de textes méconnus, voire inconnus, car censurés lors de leur parution. Dans le bar, lieu vivant, convivial et propice aux échanges, les conversations se tissent et célèbrent ce droit, pilier de la liberté d’expression, qu’est la liberté d’écrire, trop souvent malmenée partout dans le monde.
Chahla Chafiq et Somaia Ramish, toutes deux femmes autrices exilées, ayant fui les régimes dictatoriaux d’Iran et d’Afghanistan, racontent leurs difficultés et la censure imposée contre leurs écrits. Lus dans leur langue originale par des auteur·ices présent·es, des textes interdits prennent une dimension particulièrement émouvante et apportent des échos du monde au cœur du festival.