La frontière entre le monde des vivant·es et celui des mort·es n’est pas si étanche qu’on le pense et le deuil n’est pas toujours la fin de l’histoire : ainsi Clémentine Mélois raconte la façon dont elle et sa famille ont apprivoisé et accompagné la mort du père, Adeline Dieudonné parle d’une femme qui s’accroche au corps de son amant décédé et Annie Ferret use des codes du réalisme merveilleux pour parler des mort·es, présent·es ou à venir.